I. VERSION

Ein Auto für alle

Das Angebot klingt vielversprechend: Für 28,40 Euro am Tag vermietet Anna ihren VW Polo, 200 Freikilometer sind inklusive, Benzin kostet extra. Auf Plattformen im Internet breitet sich das private Carsharing aus. Jeder kann sein eigenes Auto für die Zeiten vermieten, in denen er es selbst nicht braucht. Auf einer Karte können Nutzer sehen, wie weit das nächste Fahrzeug entfernt ist.

Teilen statt besitzen, das ist das Prinzip. Warum ein teures Auto kaufen, wenn man es auch bei jemandem leihen kann? Und warum in der Großstadt ein eigenes Auto haben, wenn es ohnehin die meiste Zeit in der Garage steht? Von dieser Bewegung, so die Idee, profitieren alle, weil es günstiger ist und noch dazu die Umwelt schont.

Große Unternehmen wie Daimler und BMW haben das erkannt und Angebote entwickelt, mit denen sich jeder auch für kurze Zeit ein Auto ausleihen kann – etwa für den Großeinkauf im Supermarkt, das Transportieren des neuen Schranks vom Möbelhaus nach Hause, oder einen Ausflug. Auch die Deutsche Bahn ist im Markt vertreten.

Nun breiten sich auch die Angebote von Privatleuten aus. Der Markt ist nach wie vor klein, das Potential aber riesig: Denn ein Auto steht im Durchschnitt 23 Stunden am Tag ungenutzt am Straßenrand. Und jeder zweite Autobesitzer in Industriestaaten kann sich prinzipiell vorstellen, sein Auto mit anderen zu teilen.

Nach: Britta Beeger

FAZ, 29. September 2014

II. THÈME

L’Allemagne est-elle en déclin ?

L’économiste allemand Marcel Fratzscher vient de publier un livre dans lequel il parle de l’Allemagne comme d’un pays qui vit sur ses acquis. Selon lui, la compétitivité retrouvée du pays, la chute du nombre de chômeurs et l’amélioration des comptes publics ne doivent pas occulter ses « faiblesses fondamentales », à savoir le manque d’investissements ou encore l’effondrement démographique. « L’Allemagne est en voie de redevenir l’homme malade de l’Europe » écrit-il. « Sa croissance depuis l’an 2000 est plus faible que la moyenne européenne. Les salaires y ont progressé moins vite, et la pauvreté, en hausse, touche un enfant sur cinq ».

Les gouvernements français et italiens réclament justement à l’Allemagne « un soutien plus ferme à la croissance », ce qui a irrité la Chancelière allemande, Angela Merkel, et a creusé le fossé entre Berlin et les pays du Sud. « Si la zone euro a besoin de l’Allemagne, l’inverse n’est en revanche pas si évident » rappelle Marc Touati. « Afin d’éviter une sortie de l’Allemagne de la zone euro, l’Europe doit se réveiller et comprendre que l’Allemagne n’est pas un ennemi, mais un modèle à suivre ».

d’après : Le Figaro 29 septembre 2014

III. ESSAI

Les candidats traiteront l’un des deux sujets proposés et indiqueront le nombre de mots employés (de 225 à 275)

1. Mindestlohn – Jobkiller oder Arbeitnehmerschutz?

2. Sollte Deutschland sich stärker in internationalen Krisen engagieren?