La commission est animée par Mr Montlibert, coordonnateur des épreuves ESSEC.

En ce qui concerne l’équipe des concepteurs, Mme Massard, conceptrice de l’épreuve maths II voie E arrête et est remplacée par Mr Maziac.

Objectif de toutes les épreuves: chaque candidat doit pouvoir aborder l’épreuve, progressive, dont les dernières parties sont plus délicates. Tous les sujets sont destinés à être «classants»

Les épreuves de maths I voie S et maths II voie E sont des épreuves à thèmes qui recouvrent la plus grande partie du programme possible.

L’épreuve de maths III voie E reste une épreuve à 2 ou 3 problèmes afin d’élargir le champ du programme abordé.

Voie E

Maths II

Sujet progressif dont les dernières parties sont plus difficiles. Le sujet est beau et bien adapté dans son ensemble aux candidats.

Une remarque des correcteurs: les candidats ne connaissent souvent pour la variance que la formule de König-Huygens et oublient la définition de la variance, utile dans ce sujet.

Mme Massart est remerciée d’avoir pris en compte les remarques des années précédentes concernant les sujets de maths II.

Maths III

Mr Montlibert nous fait part de ses regrets concernant les erreurs que contenait le sujet de maths III. La délibération sur le barème de cette épreuve a été longue, mais il s’avère qu’aucun candidat n’a été gêné par les lacunes de l’énoncé.

Il n’y a pas de nouvelle philosophie de l’épreuve de maths III qui consisterait à ne poser que des probabilités.

Voie S

Math 1

La partie I a été très discriminante, les candidats se sont en moyenne mieux comportés dans la suite. Les hypothèses pour utiliser un résultat du cours ou un résultat antérieur sont rarement vérifiées. La définition de la variance est souvent confondue avec la formule de Huyghens.

Math 2

Epreuve pilotée par HEC, non abordée ici.

Marylène Dudugnon – Roland Roussillon